17 février 2007

Textee en Francais

En francais i fallait faire une production écrite, pi jétais pas mal fiere de mon texte feik jai décidé de le taper pi de le mettre ici!! (ses peut-etre déprimant, masi la musique que le prof a la mis pendant le cours était pas super happy feik...)

Journée d'octobre

Par une froide et bruineuse journée d'octobre, a l'heure de pointe, j'avancais, las, sur le trottoir d'un sombre boulevard. Ma tasse de cafe a la main, tintant a peine des quelques dollars recoltes un peu plus tot, j'errais sans but. Soudainement, les gouttelettes de pluie se transformerent en gouttes, les gouttes en orage, l'orage en desespoir.

Apres un moment, je m'arretai, pensif. Je ne devais pas rester sous la pluie et risquer la pneumonie. Les medicamant coutaient cher, je ne pourrais pas me permettre le luxe d'en dependre. Dans la rue, les conducteurs klaxonnaient, impatients. "T'avances-tu ou quoi?" hurlaient-ils tous. Le ciel, si maussade, affectait tout. Tout était gris. Mais cela me laissa indifferent. Tou etait toujours gris. Je marchai encore quelque peu et entrai dans un cafe. En quelques instants, tout s'eclaira. Les clients riaient, se rechauffaient. La bonne odeur de vafe, de patisseries, se propageait dans le coeur des gens. Le mien, tiraillé par la faim, prenait un malin plaisir a observer ces visages, incapable de se confondre dans la masse.

Puis, un employé arriva, me dévisagea de ce regard froid, glacial, pluvieux, puis me lanca : "T'achetes ou tu pars? C'est pas une auberge ici!" Je regardai la monnaie dans ma tasse, me disant qu'un simple cafe ne calmerait pas ma faim. Je retournai donc dehors, la pluie battant a mes oreilles, me chantant sa triste histoire, Je lui racontai alors la mienne. Elle y sembla indifferente, puis se mit a rire. Le soleil revint dans le ciel, mais tout resta gris. Tout restait toujours gris. Les gens, pressés, retournaient chez eux. ILs iraient retrouver maris, femmes, enfants... Le soir, ces derniers se plaindraient encore, ils ne voudraient pas manger de pates pour souper. Ils les jetteraient a la poubelle, comme on l'a fait avec leur coeur.

Je marchais, tete baissée, sur ce boulevard sans fin, Sur ce boulevard acahlandé qu'est la vie. Car la vie n'est qu'un autre chemin vers la mort. Qu'une autre avenue.

Grey skies clouding up the things we used to see with wide eyes, Maybe everything was made to be this way, Will it ever change? Or are we stuck here on our owns?

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